Membres actifs
Julien Boily
Julien Boily vit et travaille à Saguenay. Suite à un baccalauréat en art à l’Université du Québec à Chicoutimi (2005), Julien Boily a entrepris une pratique artistique à la fois collective et individuelle. Membre du collectif Cédule 40, qui crée des jardins-installations interactifs dans une esthétique agro-industrielle, il poursuit individuellement une recherche en peinture, sa discipline privilégiée.
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James Partaik
Artiste et professeur des arts numériques à l’UQAC, les intérêts artistiques de Partaik s’articulent autour de l’idée du techNOMADISM : la création d’environnements hybrides qui intègre une gamme de technologies mobiles et en temps réel, employant l’espace architectural, le corps, le son et l’image, et les technologies basées sur les capteurs et l’électronique.
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Caroline Fillion
Artiste multidisciplinaire, Caroline Fillion est originaire de Saguenay. Sa pratique conceptuelle repose sur des conjonctions symboliques ou des métaphores questionnant, détournant ou transgressant les postulats traditionnels du milieu de l’art. Une réflexion tempérée dans un absurde sérieux, sur les méthodes de légitimation de l’Art à travers ses institutions et sur le rapport entre l’œuvre, l’artiste et le commentaire qui les précède.
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Mathieu Valade
Ma pratique artistique explore les rapports de contradictions existants entre les formes simples et les images qu’elles peuvent évoquer une fois détournées. La production d’objets sculpturaux ou de dessins, toujours avec un souci de mettre de l’avant une plasticité forte, se voit hybridée à des éléments de représentations simples (typographie, logos, pictogrammes, formes géométriques) dans le but de soulever de nouveaux potentiels d’interprétation.
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Magali Baribeau Marchand
Dans un rapport au monde portant une grande attention à la temporalité, aux espaces et à la présence, ma pratique en arts visuels sonde et explore la matière sensible dissimulée dans le quotidien ordinaire, cette trame infra-ordinaire qui agit sur notre perception du visible et de l’invisible, de l’infime et du signe poétique, de la présence et de l’absence, de l’apparition et de la disparition. Selon l’écrivain français Georges Perec, l’infra-ordinaire est une anthropologie de ce qui se passe chaque jour, du banal, de l’évidence qui met la lumière sur l’endotique plutôt que l’exotique. Il s’agit d’une relation au monde intrinsèquement liée à la prise de conscience du détail et du fragment, dans le but de les rendre visibles et signifiants.
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